
Nous entrons dans les grands espaces Argentins! Des paysages de “films” qui défilent sous nos yeux sur des centaines de kilomètres. Chaque virage offre un panorama nouveau et un sentiment d’immensité et de solitude. Au milieu de nulle part, seul sur la route, nous croisons un voyageur à vélo loin de toute civilisation. Stéphanie lui fait un signe de la main pour s’assurer que tout est ok. Il ne fait pas loin des 40° dehors. Malgré les 17° dans le bus
nous préférons rester au frais.
Ouf c’est beau à en couper le souffle